En 2019, le Groupe Vodacom a commandé une étude à KPMG qui a suggéré que plus de 80 millions de femmes actives dans 107 pays dans le monde – environ 15 % des femmes sur le marché du travail – avaient subi des violences domestiques au cours des 12 mois précédents. Plus d’un tiers (38%) des femmes interrogées, pendant cette étude, ont déclaré souffrir d’une baisse de productivité et 22% ont révélé qu’elles arrêtaient parfois d’aller travailler ou prenaient des jours de congé.
En raison des absences au lieu de travail liées aux abus domestiques, dans les pays couverts par l’enquête de la firme KPMG, on estime que 2,1 milliards de dollars en production économique sont perdus chaque année. Quatre millions de femmes ont également raté une promotion à cause des violences domestiques, ce qui équivaut à une perte de salaire annuel moyen de 2 900 $ par femme. Cela représentait environ 13 milliards de dollars de gains potentiels totaux perdus chaque année dans ces pays.
Tenant compte des résultats de cette recherche, le Groupe Vodacom a mis en place une politique globale sur la violence domestique, définissant une gamme complète de mesures de soutien, de sécurité et d’autres mesures sur le lieu de travail pour ses employées afin de les aider à se remettre après toutes sortes de violences domestiques.
En effet, au travers de sa politique globale, le Groupe Vodacom accorde plusieurs solutions à ces employées victimes de violence domestique, notamment : l’octroi de 10 jours de congé payé, un soutien permanent accompagné des conseils approfondis sur le sujet, un travail flexible avec une possibilité de changer de lieu de travail, ainsi qu’une assistance en cas d’exploitation financière. Le groupe a également pris des mesures pour assurer leur protection contre le cyber-harcèlement et le harcèlement physique au travail, ainsi que pour améliorer leur sécurité sur le lieu de travail, y compris en cas de travail à distance ou en mode hybride.
D’autres recherches menées par le Groupe Vodacom en 2020, sur l’impact de la politique globale de Vodacom contre les violences domestiques, ont démontré que celle-ci a produit des résultats positifs dans la vie des employées du Groupe Vodacom victimes de ces abus physiques, sexuels, économiques et psychologiques. Selon ces femmes, le soutien fréquent des conseillers, l’assistance spécialisée et les congés payés sont des solutions adaptées à leur situation.
En plus, la formation des cadres du Groupe Vodacom sur les solutions face aux violences faites aux femmes a eu un impact direct et efficace. Celle-ci leur a permis d’accompagner leurs collègues femmes victimes d’abus domestiques, de jouer un rôle de plaidoyer plus large dans la communauté et de soutenir leurs proches qui subissent les effets néfastes de ces actions inhumaines.
Madame Pamela Ilunga, Directrice Générale Adjointe de Vodacom Congo, a déclaré : « Nos recherches révèlent l’importance de la création d’un programme de soutien aux femmes victimes des violences domestiques au sein de toutes les entreprises et organisations humaines. Ayant adopté le mode de travail hybride, suite au Covid-19, il sied de noter que chez Vodacom Congo, l’assistance des victimes reste disponible pour nos employées, quels que soient le lieu et la manière dont celles-ci travaillent. En partageant nos solutions face aux violences faites aux femmes, nous visons à aider d’autres employeurs à adopter des politiques afin qu’ensemble, nous puissions aider à mettre fin à toutes les formes de violence faite aux femmes dans notre société. »
Ensemble, mettons fin dès maintenant à la violence à l’égard des femmes !
Les Relations Publiques
Vodacom Congo
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