Etant déjà en plein pied au siècle du numérique, le vote traditionnel poursuit une vitesse de mutation. Il s’agit d’un nouveau système par ordinateur qui semble automatiquement indispensable pour l’homme, la démocratie et l’Etat. Dans cette analyse, Stephen Bwansa, Secrétaire Exécutif du PPRD/Chine estime que la solution aux difficultés d’intérêt politique et démocratique que peuvent engendrer les perturbations du vote électronique serait de mettre en place un système intelligent de sécurité ou de contre-espionnage. Cela, dans le but de stopper l’orgueil du monstre planificateur des attaques des numériques dans le monde.
Les machines qui favorisent le vote électronique sont bonnes et parfaitement sécurisées. Mais, si aujourd’hui les votes sont faits dans plusieurs pays du monde par ordinateur, les comptes voix dans les bureaux de vote suivent le même schéma numérique afin de transmettre aux centrales électorales les résultats du choix du peuple.
« Ma question est de savoir si nous utilisons tous aujourd’hui, les ordinateurs pour nos échanges et communications nationales et internationales ? Ou encore, nos mails, n’ont-ils jamais été visités par un ou plusieurs virus ? », S’interroge Stephen Bwansa, dans cette réflexion.
Pour lui, l’opposition congolaise devrait plutôt proposer des mécanismes des sorties de crise pour les élections, au lieu de tout rejeter et diaboliser comme d’habitude. Car aujourd’hui, il y a des guerres internationales généralisées au sujet du vote numérique à travers des attaques par les spécialistes d’invention des virus et terroristes électroniques. Alors que le vote traditionnel a toujours été contesté, rejeté au Congo par le perdant des urnes.
D’ailleurs actuellement, toutes les données enregistrées dans les centrales de mémoire des appareils téléphoniques peuvent être piratées. Et les communications téléphoniques peuvent l’être également. Ce qui peut obstruer le caractère de fiabilité de sécurité des appareils téléphoniques.
A l’en croire, le vote par ordinateur est la meilleure façon de construire notre modèle électoral. Car, cela ne permet pas seulement d’économiser le temps de publication des résultats des urnes et de l’investissement financier, mais d’offrir une gamme de sécurité électorale très vérifiable. C’est pourquoi, le vote électronique et son mode d’utilisation feront partie de routine de la vie.
« On ne peut vouloir le développement du pays et aller à l’encontre des intérêts qui les construisent », soulève-t-il. Toutefois, la solution aux quelques difficultés politique et démocratique que peuvent engendrer les perturbations de vote électronique serait de mettre en place un système intelligent de sécurité ou de contre-espionnage. L’idée étant de stopper l’orgueil du monstre planificateur des attaques des numériques dans le monde.
Par respect au peuple, il est préférable de dire que le système de comptage des bulletins de vote par ordinateur a été conçu dans l’objectif de transparence. Malgré que pendant l’exercice primaire de vote, les gouvernants comme l’opposition de par le monde peuvent souffrir d’attaque des virus.
« Vue la volonté de moderniser la nation, il serait mieux que les politiciens, économistes et juristes s’accordent pour engager des réformes des lois dans ce domaine. Nous devons être prêts pour la modernité », conclut Stephen Bwansa.
Judith Asina
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