Il a réagi par rapport aux sujets de l’heure, à partir de la signature de l’arrangement particulier à la dernière déclaration de la CENCO, passant par les propos de certaines personnalités. De l’empire du milieu où il se trouve, Stephen Bwansa Secrétaire Exécutif du PPRD/Chine estime que le travail pastoral doit être fait avec plus de sagesse, sans donner une position aux affaires politique. Ainsi, recommande-t-il aux clergés catholiques de demeurer dans la méthode de la diplomatie messianique en vue de gagner les âmes pour le compte du Christ.
Soutenant la nomination de Bruno Tshibala à la tête de la primature, cet homme qui a longtemps soutenu la démocratie de feu vert estime que le mieux serait plutôt de se préparer aux élections en lieu et place de tergiverser.
C’est à travers une déclaration qu’il s’est exprimé. De ce fait, il ne comprend pas qu’après avoir connu des difficultés pour faire avancer les pourparlers entre différents acteurs politiques, que les évêques portent un jugement capable de compliquer l’avancée normale de la nation. Cela, alors que le Président de la République a trouvé un nouveau représentant de l’Exécutif national. Pour lui, c’est le moment de se consacrer à pouvoir régler les problèmes qui embarrassent la vie de la société. Cela, en vue de construire le pays intellectuellement, spirituellement pour un développement et environnement de paix et d’amour.
A l’en croire, le Congo entant que patrimoine commun, mérite d’être cultiver pour le bien-être de la population dans l’avenir et le présent. Le contraire serait du genre à chercher l’instauration d’un régime de chaos où même les princes de l’église risquent d’être rattrapés par l’histoire. Car, il est du devoir et de responsabilité de chacun de reconnaître le chemin qui conduit vers le bonheur du peuple.
Selon lui, la lutte pour le Congo doit se faire pour aboutir à une République solidement débout dans la paix. Ce qui n’est possible qu’avec des patriotes qui comprennent qu’il y a des institutions en place au service du peuple. Puisque le peuple devrait passer en premier dans ce combat de la démocratie. « Si le pouvoir émanant du peuple vous intéresse, préparons-nous d’aller aux élections », interpelle-t-il. Puisque multiplier ces genres de discours qu’il qualifie de soulèvement populaire, risque d’affaiblir d’avantage la nation en l’infectant gravement, sous forme d’agoniser l’économie.
Devoir de mémoire
Stephen Bwansa rappelle que ce n’est pas un fruit de hasard, si le pays est devenu fréquentable. Cela, étant donné qu’il fallait des multiples sacrifices, des disciplines de bonnes cohabitations entre les acteurs politiques qui dirigeaient les institutions de l’Etat à l’époque.
Au regard de ce qui se passe actuellement au pays, il pense qu’il est plus facile d’être spectateur avec toutes les idées fabuleuses et sentiments du changement mystérieux, des précipitations qui se portent dans les équipes diverses. Seulement, toujours est-il qu’en réalité, il existe un coach officiel qui travaille nuit et jour, pour se constituer une équipe nationale solide sans carton jaune ou rouge pour l’honneur de la nation.
Mais, la différence entre chercher à devenir un coach d’une équipe nationale et un postulant réside au niveau de l’expérience et la capacité de rassembler. L’idée n’étant pas seulement de vaincre, mais de trouver les formules permettant d’atteindre les objectifs assignés par l’équipe tout en honorant les spectateurs.
Cependant, pour que ce postulant atteigne ses objectifs, il doit commencer par revisiter l’histoire, en vue d’éviter les erreurs commises au cas de la même lecture des faits. Ici, il fait allusion aux projets qui, une fois conçus, permettraient de comprendre que si les organes tels que la police, l’armée, coopération nationale et internationale fonctionne, c’est grâce aux institutions existantes.
Judith Asina
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