En effet, derrière l’instabilité politique, se dessinent les horizons économiques sombrent. La politique est la dominante, l’économie est la déterminante. Le pays va très mal disent les évêques de la cenco et le congolais lambda le vit quotidiennement.
A ce stade, il est impérieux que tout congolais puisse s’impliquer afin de prendre son destin en main, sinon l’avenir de la RD Congo sera hypothéqué pour longtemps étant donné que la politique est l’affaire de tous: « si tu ne t’occupes pas de la politique dit-on, elle s’occupera de toi« .
Face au tableau sombre que présente aujourd’hui la République démocratique du Congo (RDC), la pire des choses est le découragement.
En effet, si pour certains analystes politiques et économiques, une minorité de citoyens a décidé de prendre en otage la vie des millions de congolais, pour le congolais lambda, c’est inacceptable que cela se passe ainsi! C’est le moment historique d’être les ambassadeurs du christ dans l’espace public, au cœur du monde et d’avoir une présence active et courageuse dans le monde de la politique.
Solution
Pour sortir le pays de la crise socio-économique et politique, il faudrait dans ce contexte :
1. Mettre fin à la l’instabilité politique ( le pouvoir en place pour avoir perdu la légitimité populaire, ensemble avec la vraie opposition doivent dégager une légitimité consensuelle pour des élections libres, transparentes et apaisées. En sus, pour un climat apaisé, le pouvoir en place doit arrêter d’envoyer ses thuriféraires à la télévision faire le lynchage médiatique au cardinal MONSENGWO. Car aucun état qui est allé en guère contre l’église n’a été victorieux. Il faudrait également appliquer la décrispation politique exigée dans l’accord de la saint sylvestre. Le pouvoir en place doit en outre éviter le bras de fer avec l’église catholique, c’est seulement à ces conditions qu’on pourra revenir à l’ordre constitutionnel et démocratique tant souhaité par les paisibles citoyens congolais ) ;
2. Améliorer la collecte des recettes des régies financières ;
3. Rentrer en programme avec le FMI (pour bénéficier des appuis budgétaires du FMI = facilité du crédit rapide etc…).
Au cas contraire, il faudrait s’ attendre à l’éclatement de la bulle, à l’implosion du pays. La cleptomanie électorale, le hold up électoral prémédité dans les officines de la MP nous amènera dans une descente aux enfers sans billet de retour.
Joël imbole
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