Pour le président de l’uda originelle, du deuxième semestre 2016 à la fin du 1er semestre 2017, la situation politique, sociale et sécuritaire du pays sérieusement tendue et gravement détériorée, est marquée par les faits saillants ci-après :
1. Affaire adeptes de la secte Bundu dia Mayala, tueries au Kongo Central, siège de la résidence Ne Mwanda Nsemi suivi de son arrestation
2. Affaire Kamuina Nsapu
3. Violences (tueries) des masses au Kasayi
4. Fosses communes
5. Violences à Beni et ses environs
6. Dialogue du côté Oua et son accord
7. Tueries du 19 septembre 2016 à Kinshasa
8. Tueries du 19 décembre 2016 à Kinshasa
9. Panama papers
10. Bgfi bank/Lumumba papers
11. Passports scandale
12. Évasions en série (Makala, Kasangulu, Beni, etc)
13. Commission d’enquête internationale
14. Sanctions contre certains dignitaires.
Ces faits non exhaustifs constituent selon claudel lubaya une accumulation effrénée des actes répréhensibles et scandaleux pour lesquels, hélas, à ce jour, personne n’a encore été sanctionné par la justice congolaise.
Comme si cela ne suffisait pas, face à ce sinistre tableau qui l’accable note le président de l’uda originelle, la majorité au pouvoir semble n’avoir qu’une seule réponse politique : le référendum. Si c’est le cas, claudel lubaya estime que c’est la seule erreur à ne pas commettre car la coupe lui semble pleine.
Joël imbole
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