C’est la Fondation Bill Clinton pour la Paix (FBCP) qui a annoncé cette libération effectuée dans la nuit du dimanche 22 au lundi 23 avril 2018. Cette association qui lutte pour la liberté et le droit de l’homme relève également qu’aucune parcelle de de l’Ambassade du Nigéria, six au total n’est mise en vente et que les contrevenants ne s’en prendront qu’à leur propre triste sort.
Le communiqué qui rend public cette affaire indique que le consulat du Nigeria situé sis avenue Roi Baudouin qui était occupé par une certaine femme se déclarant propriétaire a été libérée dans la nuit du dimanche à lundi, par la même police qui a délogé la famille du chargé d’affaires. Cependant, la FBCP s’inquiète de la perte de plusieurs objets de valeur de la famille. Cela, au-delà du drapeau du Nigeria qui a été ôté du lieu, et le changement de la peinture qui s’est réalisé dans une vitesse de croisière. « Qui va payer les pots cassés », s’interroge la FBCP à cet effet.
A travers la FBCP, l’ambassade du Nigeria en profite pour informer l’opinion nationale et internationale qu’aucune de ses parcelles dont les adresses suivent sont ne sont mises en vente. Elle met ainsi en garde tout celui qui va oser s’en procurer d’une manière ou d’une autre. Il s’agit précisément de six parcelles parmi lesquelles deux situées au Boulevard du 30 juin aux numéros 141 et 112; l’une située au numéro 41 de l’avenue de la Justice; celle du numéro 39, avenue Pumbu ; une autre située au 38/40 avenue Lemera ; 23 A/23 B avec Lemera (ex. avenue Roi Baudoin), tous situées dans la commune de la Gombe.
Judith Asina
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