Au-delà du programme « jeunes professionnels », Stephen Bwansa encourage la stabilité de l’énergie pour le développement

A partir de l’empire du milieux où il réside, Stephen Bwansa suit de près l’évolution de la situation de la RDC, son pays d’origine. Ce jeune entrepreneur, Secrétaire Exécutif du PPRD/Chine encourage le Gouvernement, qui, à travers le premier ministre, a lancé jeudi dernier, le recrutement de 1.000 autres jeunes dans le cadre du programme « jeunes professionnels ». En plus, il propose de se concentrer sur quatre principales pistes, notamment le renforcement de la production agricole d’une manière général dans les milieux ruraux et la transformation des produits miniers pour laquelle la stabilité d’énergie reste l’unique poumon pour atteindre le développement.

Il estime dans cette analyse que la RDC doit croire à ses capacité de réforme, mais en tapant là où ça fait mal. Cela, étant donné que le pays plus de 60 % des produits consommés sont importés et 80 % de technologie souffre de mutation. Pour en découvre, il serait préférable de se concentrer à travailler sur quatre principales pistes. Il s’agit du renforcement de la production industrielle agricole d’une manière générale dans les milieux ruraux et la transformation des produits miniers pour laquelle la stabilité d’énergie reste l’unique poumon central susceptible d’atteindre le développement voulu ; la réhabilitation des infrastructures routières qui permettra le désenclavement de certaines provinces en vue de l’acheminement des produits à l’interne ; par conséquent, des nouveaux emplois seront créés ; encourager les entrepreneurs locaux à travers des réformes en vue de permettre à la main d’œuvre congolaise d’émerger au niveau national et international.

Stephen Bwansa croit dur comme fer que des nouvelles chaînes de production dans le secteur de développement créeront automatiquement d’autres emplois et des nouveaux capitaux.Avec ces acquis, il sera difficile que le marché intérieur soit secoué même lorsque la dépréciation à l’international est criante. Car, l’industrialisation peut créer un développement économiquement durable, afin d’éviter à la démocratie, la tentative du destructeur prêché à Adam et Eve dans le jardin. Il parle ici de ceu qui, après avoir mangé le fruit, appelle à la modernité lumineuse de la découverte et des puissances où naissent sans le savoir, un concept contraire au développement vert, la liberté et leadership souverain de l’homme.

Halte au crime de la démocratie     

Mais pour y arriver, il faudra dialoguer dans le but de construire dans la paix et sécurit, en vue d’éviter ce qu’il qualifie de crime de la démocratie.laquelle crime de démocratie consiste à tout acte posé au nom de ladite démocratie, mais contraire aux principes de construction qui peut être l’objet d’un frein au développement du pays. Ainsi, toute initiative d’ôter la vie humaine en contribuant aux destructions et atteintes à la sécurité nationale, devra-t-elle être sévèrement punie. D’autant plus que le pays traverse une période déterminante dans son histoire politique.

De ce fait, chaque déclaration politique doit soigneusement être décortiquée et publiée avec modération. Et ce, en respectant le peuple que chacun prétend défendre avec acharnement. Car, en attendant les élections démocratiques et transparentes, les institutions de la République doivent être respectées.

Voilà pourquoi,cette façon de faire doit en premier résoudre l’équation de bâtir qui implique une démocratie verte avec des schémas politiquement productives, où le peuple congolais est considéré comme un atout de rentabilité et de productivité vers la stabilité du social. « Le peuple devient par cette arithmétique démocratique, acteur de développement et souverain primaire », interpelle-t-il.

Judith Asina