Amnesty International a demandé au président Félix Tshisekedi de stopper immédiatement l’exécution de plus de 170 bandits urbains condamnés à mort, appelés « Kuluna », après leur transfert à la prison d’Angenga.
L’ONG a exprimé des préoccupations concernant des exécutions massives imminentes et a réclamé un moratoire sur la peine de mort en RDC.
Elle a également dénoncé les conditions de détention inhumaines dans les prisons, notamment à Angenga, où de nombreux détenus sont morts de faim et de maladies. En réponse, le ministre de la Justice a rejeté ces accusations, assurant que les exécutions ne seraient appliquées qu’après jugement.
La Rédaction
Avez-vous aimé l'article? Partagez et Laissez votre commentaire