1) Pour aider le Pays réellement
Voici quelques années, YUN Jong Ae, Chercheuse de l’Institut de Conservation de Souches d’Etat de l’Académie Nationale des Sciences de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC), qui était en mission dans un centre d’élevage de la volaille, prit intérêt à des déchets et sous-produits d’origine volatile. Avec ces déchets, se dit-elle, n’est-il pas possible de produire un additif alimentaire nutritif pour les poissons?
En fait, elle avait déjà de riches expériences d’avoir inventé des additifs alimentaires de grande efficacité à usage des animaux et de la volaille à partir des matières protéiques extraites des poils de bêtes et oiseaux domestiques. Ces additifs ayant produit leur efficacité dans la pratique, YUN Jong Ae se vit attribuer le titre de Docteur.
Forte de ces succès, elle s’est employée à mettre au point un nouvel additif conforme aux particularités de croissance des poissons avec des déjections de la volaille. L’essentiel dans ces recherches était de traiter des déchets par une autre méthode chimique que celles traditionnelle et d’établir ainsi un nouveau procédé de production d’aminoacides. Elle a subi échec sur échec. Pourtant, elle a fini par trouver une nouvelle méthode.
Or, ce procédé a entraîné une détérioration du réacteur de synthèse. Reconnaître des résultats inconvenants à la réalité était, pour elle, inadmissible. Pour trouver un moyen rationnel, elle s’est attaquée de nouveau à des recherches. Au bout de ses efforts de réflexion assidus et de ses essais réitérés, elle est parvenue à saisir des données précieuses relatives au solvant de réaction, clef de remédier à des défauts. C’est en élucidant, un à un, des facteurs surgis au cours de la réaction qu’elle a réussi à synthétiser des protéines poilues, ressources abondantes dans le Pays, à établir un nouveau schéma de production industrielle d’aminoacides et à fabriquer l’additif alimentaire nutritif.
Résultats; cet additif
- permet d’augmenter à 30% le taux d’engraissement de silures, à 20% celui de truites arc-en-ciel et d’esturgeons
- produit aussi son efficacité dans l’élevage de siniperca scherzeri et de loches
- est très efficace pour prévenir diverses maladies dues à la dysfonction, soit à la carence de protéines chez les poissons.
YUN Jong Ae, femme Docteur et Chef de Bureau de l’Institut, déclare; «Nous autres, scientifiques, devons nous efforcer pour obtenir des résultats pouvant aider substantiellement le Pays. Ce n’est ainsi que les richesses de la Patrie augmenteront et la vie de notre Peuple connaîtra une plus grande amélioration.».
2) Les activateurs de la croissance d’arbres
Les chercheurs de l’Institut d’Architectonique de l’Ecole Supérieure d’Architecture de Pyongyang, République Populaire Démocratique de Corée (RPDC), viennent de mettre au point les activateurs de la croissance d’arbres Pugang-1 et Pugang-2 (puissance, NDLR).
Ces activeurs permettent d’;
- accélérer l’enracinement d’arbres et arbrisseaux à fleurs de diverses sortes
- augmenter la capacité de photosynthèse de feuilles
- améliorer les conditions de nutrition initiale et de croissance des arbres
De même, ils rehaussent à la fois l’activité physiologique de la partie superficielle et celle de la partie souterraine, renforçant ainsi leur résistance aux maladies malgré des conditions défavorables.
Le Pugang-1 est employé comme fortifiant nutritif, tandis que le Pugang-2 comme insecticide.
Les résultats de leur introduction dans la vie ont prouvé qu’ils sauvent des arbres agonisants, diminuent considérablement les dégâts causés par les maladies et les insectes nuisibles dont chenilles de pin et assurent le taux de survivance à plus de 98%.
3) L’utilisation de la nourriture naturelle aux poissons
- L’Ecole Supérieure Halieutique de Nampho, République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) utilise les rotifères pour la nourriture aux petits poissons. Jadis, on utilisait de la pâture artificielle pour les alevins. Cela entraînait une mauvaise qualité d’eau dans le bassin, un trouble digestif chez les poissons et un taux de survie très bas. L’Ecole a élevé d’une manière intensive des dizaines de milliers d’insectes dans un étang de culture de chlorelles couvert pour produire des aliments à prix bas et raccourcir le cycle de production de poissons.
- La Ferme Coopérative de Raerim de l’Arrondissement Jaeryong dans la Province Hwanghae du Sud de la RPDC procède chaque année à la pisciculture de diverses espèces de poissons (carpe herbée, ryongjong-o, etc.) à l’aide de la nourriture naturelle. Elle utilise des pailles de céréales, des excréments des animaux domestiques, des sous-produits céréaliers, des cosses de soja, etc., pour assurer des conditions favorables à l’habitat de daphnies et lombrics. De même, on cultive l’azolla filliculoidas dans la piscine pour qu’il serve de nourriture aux poissons. Actuellement, la Ferme produit chaque année beaucoup de poissons avec de la nourriture naturelle (70%) et de l’aliment non céréalier (30%).
4) La culture d’une nouvelle espèce de carassin
Les scientifiques piscicoles de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) ont réussi à élever une nouvelle espèce de carassin, poisson excellent.
Ce nouveau poisson, appelé sous le nom de Namgang-1 (fleuve du sud, NDLR);
- est un hybride de la carpe et du carassin rouge.
- ressemble beaucoup au carassin du point de vue morphologique. Il pèse plus de 30g à la 1ère année de sa naissance, mais l’année suivante jusqu’à 100~200g. Cela montre que sa vitesse de croissance est de 1,3 fois plus rapide que le carassin de race locale.
- est de grande vitalité, puisqu’on peut l’élever avec des aliments dont la teneur en albumine brute est de moins de 20%, et même dans une condition de faible oxygène, soit de 0,2mg/l. Le taux de survie est de plus de 2 fois supérieur à la carpe.
- peut être élevé avec d’autres espèces de poissons pour rehausser sa productivité et, surtout, en cas de son élevage comme poisson principal, sa productivité par hectare serait de 3 fois et plus par rapport au carassin autochtone.
- a peu d’arêtes, mais beaucoup de chair.
A l’heure actuelle, on l’élève dans plusieurs entreprises d’élevage de poissons reproducteurs et celles de pisciculture.
5) Le recyclage des bouteilles en plastique
De nos jours, les plastiques PET (polyéthylène téréphtalate) sont considérés comme difficiles à être recyclés.
Récemment, l’Institut de Matériaux BTP de l’Académie Nationale des Sciences de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) a mis en valeur une méthode de fabrication du solvant organique en traitant facilement les déchets de plastiques PET.
Cette technique permet d’obtenir, sans provoquer la pollution de l’environnement, diverses sortes de solvants organiques et produits chimiques, y compris l’éthylène-glycol, le benzol et l’acide téréphtalique, nécessaires à la production de la résine synthétique, de l’adhésif, du plastifiant, de la peinture, etc.
Les résidus sortant de ce processus peuvent aussi être utilisés pour la fabrication des matériaux thermiques.
Cette technique est brevetée.
6) Les vainqueurs du Codechef
Les étudiants de l’Université Polytechnique KIM Chaek (1903-1951) de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) ont gagné les 1ère et 2ème places dans le Concours Codechef tenu du 1er au 11 mai dernier.
Le Codechef est un des concours de logiciel sur l’Internet organisé chaque mois à l’échelle internationale avec la participation de nombreux programmeurs professionnels et étudiants des dizaines de Pays.
Le présent concours a été disputé par plus de 20.000 étudiants et programmeurs professionnels de plus de 80 Pays, y compris la RPDC, la Chine, la Russie, le Canada, la France et l’Inde. Il s’est déroulé divisé en catégories A et B.
Les étudiants de la RPDC ont pris part au Concours de la catégorie A.
Y ont été présentés 10 problèmes, y compris un problème délicat.
Surtout, ce dernier problème délicat qui devait décider l’issue du Concours était une épreuve de la capacité de conception d’algorithmes et celle de la force morale.
D’après le résultat, les étudiants coréens ont vaincu leurs concurrents d’autres Pays par un écrasant écart de scores.
Les étudiants de l’Université Polytechnique KIM Chaek ont participé à ce Concours depuis plusieurs années pour donner la mesure de leurs compétences. Aux concours du février, du mars et d’avril de cette année aussi, ils se sont classés aussi 1er et 2ème.
7) Le groupe d’enrobage mobile
L’Institut de Science Routière de l’Académie Nationale des Sciences de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC) vient de fabriquer un groupe d’enrobage mobile pour l’introduire dans la pratique.
Les chercheurs de l’Institut ont mis au point une technique de combustion de charbon pulvérisé au moyen de l’air refroidi pour l’appliquer dans la fabrication de cette machine. Conçue et réalisée pour être fonctionnée comme carburant par du charbon pulvérisé dont la teneur en matière volatile est faible, non pas par de l’huile lourde, la centrale d’enrobage bitumeux permet de;
- chauffer suffisamment du mortier et de l’asphalte sur le terrain
- économiser ainsi le coût de revient dans la construction et la réparation des routes
- diminuer la pollution de l’environnement.
Avec cette machine, les paveurs peuvent réchauffer du mélange jusqu’à 8t/h au maximum.
8) La découverte d’un nouveau gisement de terres rares
Récemment, on a mis à découvert un nouveau gisement de terres rares (représentant le groupe des lanthanides, NDLR) à la Province Phyong-an du Nord.
Les experts du secteur concerné en ont confirmé la quantité et la teneur
Ainsi, le nombre de gisements de terres rares a augmenté dans cette région de la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC).
Avez-vous aimé l'article? Partagez et Laissez votre commentaire