Récemment, la Communauté internationale entend s’élever de plus en plus fort la voix demandant la levée de sanctions injustifiables contre la République Populaire Démocratique de Corée (RPDC).
Le Directeur de l’institut de Défense nationale relevant du Centre d’Intérêts d’Etat et un Professeur de haute classe de relations internationales de l’Université Victoria à Wellington, tous experts américains en questions de la RPDC, ont inséré dans le magazine The National Interest un article dans lequel ils ont revendiqué qu’on devait saisir exactement les intentions de la RPDC et relâcher les sanctions contre la dernière.
Lors d’une conférence de presse de son Pays, l’Ambassadeur exclusivement chargé des affaires de la Péninsule coréenne du Ministère russe des Affaires Etrangères a affirmé également: La RPDC arrête certaines mesures significatives, mais l’Administration US n’y réagit pas favorablement. Il faut relâcher les sanctions économiques contre elle.
De telles voix traduisent que la Communauté internationale a reconnu que grâce aux efforts actif et offensif de la RPDC, la situation dans la Péninsule coréenne et la Région est convertie en celle marquée par la paix et la stabilité.
Ce n’est pas sans une raison plausible que la Communauté internationale réclame l’atténuation des sanctions contre la RPDC.
Les sanctions contre la RPDC tiennent du dessein diabolique des forces hostiles qui veulent étouffer l’ensemble de l’économie et causer de graves difficultés à la vie de ses habitants, parvenant ainsi à écraser son régime, en recourant à un blocus entier de ce Pays.
Le 9ème Paragraphe du 2ème Article du Code des Crimes contre la Paix et la Sécurité de l’Humanité rédigé lors du 6ème Comité du Droit International de l’ONU tenu en 1954 stipule que tout acte tendant à prendre des mesures coercitives, politique et économique, pour poursuivre les intérêts quelconques en imposant sa volonté est un crime contre la paix et la sécurité de l’Humanité.
Le Traité de Londres de 1933 et la Résolution de la 29ème Session de l’Assemblée Générale de l’ONU tenue en 1974 précisent qu’en temps de paix, une sanction du type de blocus contre un Etat souverain est un acte d’agression, acte illégal. Les manœuvres de sanctions et de pression perpétrées par les forces hostiles contre la RPDC sont illégales et totalement agressives aussi bien du point de vue de leur but que de droit international.
En outre, la RPDC, quoique en butte aux sanctions, a, pour l’amélioration des rapports RPDC-USA, manifesté l’an dernier sa bonne volonté et sa générosité sincère telles que la suppression du terrain d’essai d’armes nucléaires à sa région Nord et le renvoi de restes des militaires américains issus de la Guerre de Corée 1950-1953 et exprimé sa volonté de prendre sans cesse des mesures de bonne intention.
Cependant, en se contentant de parler de l’amélioration des rapports, les forces hostiles n’ont rien fait pour cela. Au contraire, en parlant de la «dénucléarisation avant le relâchement des sanctions», elles intensifient leurs sanctions et pression sur la RPDC.
Que la RPDC et les USA mettent un terme aux relations d’hostilités de vieille date et établissent des relations conformes aux impératifs du nouveau siècle, c’est une exigence et une aspiration unanimes de la Communauté internationale.
Se cramponner même à ce jour aux sanctions est un acte aussi anachronique que comme un hibou qui ne voit pas le jour.
Si même après les rencontre et conférence au Sommet RPDC-USA de Singapour qui ont joui de l’admiration et de l’espérance du monde comme une «poignée de main séculaire», les rapports RPDC-USA tournent à vide et s’enlisent toujours dans l’enchevêtrement, on le doit à une absurde prétention sur la «dénucléarisation avant le relâchement des sanctions».
Les forces qui s’obstinent à revendiquer les sanctions et la pression jusqu’à la dénucléarisation dans la Péninsule coréenne ne veulent pas l’amélioration des rapports RPDC-USA ni la stabilité dans cette Péninsule.
Des personnes de bon discernement s’accordent à estimer que, à l’heure actuelle où les sanctions contre la RPDC aboutissent à rien, vouloir poursuivre les sanctions contre la dernière relève d’une sottise purement évidente.
Lors de la conférence de presse tenue après la visite en RPDC, la Présidente du Conseil de la Fédération de Russie a fait remarquer: «Le monde ne connaît jamais une sanction aussi cruelle comme celles contre la RPDC. Ce qui est étonnant, c’est que cette dernière progresse malgré des sanctions inouïes. La réalité de ce Pays atteste encore une fois que n’importe quelle sanction ne pourra jamais avoir raison de son Peuple.»
Les forces qui s’obstinent dans les manœuvres de sanctions et de pression contre la RPDC doivent s’éveiller de leurs rêves chimériques et se conduire raisonnablement comme l’exige la Communauté internationale qui réclame qu’on doit répondre aux efforts actifs de la RPDC par des actions pratiques.
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