A la proche de la date butoir de clôture des dépôts des candidatures aux élections législatives nationales et présidentielles, tous les regroupements politiques préparent leurs dossiers pour certains, le dauphin pour le FCC et le retour au pays pour tant d’autres (Bemba et Katumbi).
A cet effet, à travers une correspondance, Moïse katumbi saisit l’autorité de régulation de l’aviation civile, sollicitant ainsi l’autorisation de survol et de l’atterrissage à l’aéroport international de la Loano ce 3 août 2018 .
Au-delà des poursuites judiciaires dont il fait l’objet, le président de la plate forme ensemble ne désarme pas. Il serait près à concourir à la magistrature suprême et de surcroit à affronter la justice congolaise.
Le président de la plate forme ensemble sera accompagné peut-on lire dans cette correspondance en annexe par certains cadres de ce mouvement politique dont olivier Kamitatu, Francis Kakombo, Salomon Kalonda Della, etc.
Quel scénario attendre de ce retour ?
Difficile d’en savoir pour l’instant. Autant de questions que les avertis se posent:
- Pourquoi Moïse Katumbi a choisi Lubumbashi en lieu et place de la capitale congolaise ?
- Est-ce l’autorité de régulation de l’aviation civile autorisera-t-elle ce survol et cet atterrissage?
- Si l’autorisation n’est pas acquise, que fera Katumbi à 8 jours de la clôture des dépôts de candidature?
- Au cas où cette autorisation est acquise, quel sera le sort réservé à Moïse katumbi sur le sol lushois? Sera-t-il arrêté illico presto comme le prédisait le ministre congolais de la justice Alexis Thambwe Mwamba?
Autant de questions dont les réponses seront vécues au courant de cette semaine de tous les enjeux.
Dossier à suivre.
Joël imbole
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