Le Secrétaire Exécutif du PPRD/Chine réagit au sujet des cascades des rencontres d’Emmanuel Macron accordées à Paul Kagame et Joao Laurencio, respectivement président du Rwanda et de l’Angola où la RDC s’est invitée au débat. Pour Stephen Bwansa, le seul moyen de se conformer à l’accord de la saint Sylvestre consiste à privilégier les rapports politiques, économiques constructifs tout en respectant les règles de droit qui régissent les relations notamment culturelles et sociales pour que le pays trouve son compte.
Dans cette analyse, il relève qu’il ne faut jamais confondre les enjeux de la politique national créée par l’accord de saint Sylvestre où l’opposition joue le jeu de victime pour obtenir des faveurs. Une cacophonie qui ne peut qu’être interprétée de droit comme une menace à la sécurité régionale.
« Nous sommes par conviction persuadé qu’on ne choisit peut être pas son destin mais nous avons le pouvoir de le programmer selon nos vœux et besoins de reconstruction nationale pour atteindre nos rêves. Et cette concrétisation n’émane que de la volonté du peuple souverain et celle des gouvernants », cogite Stephen Bwansa à cet effet. Il cogite sur le fait que lorsque les faits sombres de l’histoire politique d’une nation deviennent répétitifs, les gouvernants sont obligés de mobiliser avec tous les canaux leur reconnus de droit au niveau national et international, en vue de préserver la paix gage du développement et d’expression démocratique.
Mais à ces jours, l’unique fondement dans les relations internationales entre états ne peut être autre que le renforcement de capacité de paix ainsi que l’équilibrage de coopération des intérêts entre nations pour mieux bâtir la liberté verte. Allusion faite ici à un concept nécessaire pour le bonheur du Congo et celle du monde.
A en croire Stephen Bwansa, la mise en œuvre du droit international ne peut en aucun cas faire appel aux violations de souveraineté d’un état. Cela, étant donné que le pays s n’est pas en rapport de puissances ou domination de sa société, ni déstabilisateur de la paix régionale, moins encore une machine d’inspiration technique qui perturbe par violation de souveraineté, les intérêts régionaux.
Toutefois, le seul rapport qui restera éternel entre le Congo et ses partenaires traditionnels seraient la détermination de l’état à créer le rapport de puissances économiques sociales pour organiser son leadership à l’international.
Raison pour laquelle, le seul moyen de respecter la saint Sylvestre consiste à privilégier les rapports politiques, économiques constructifs tout en appliquant les règles de droits qui régissent les relations notamment culturelles et sociales afin que le congolais trouve son compte.
Devant sa conscience, en lisant les interventions des uns des autres sur l’ingérence ou pas à la souveraineté de l’état congolais par rapport au problème qui touche la démocratie ou politique sociale dans le monde, il se pose un lot de questions spécialement sur Comment est-il possible de régler le problème d’insécurité de la région lorsque certains semblent s’écarter des canaux de droit national et international qui font sa force ; Comment peut-on soutenir un programme de développement d’un état pour lequel il est parfaitement connu que les institutions financières ne débloqueront aucun rond pour soutenir le plan du développement. « Comment le prétendant candidat soutenu aujourd’hui par les tierces pourrait-il être sûr que les réfugiés politiques qui seront créé à cause d’une mauvaise gestion des conflits aujourd’hui sont ceux -là qui reviendrons au pouvoir sur les mêmes arguments d’envoûtement mais sous d’autres arguments flatteurs? », interroge-t-il.
C’est pourquoi, il invite le peuple à barrer la routes aux schémas répétitifs de l’histoire de la honte, du pillage et de la soumission à l’aveuglette.
Judith Asina
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