Le 16 mars 2018, le Tribunal de grande instance de Paris a condamné Roger Bongos pour ses injures publiques envers Noël Tshiani Muadiamvita. Une victoire pour ce dernier aujourd’hui lavé par la justice française.
Ce candidat déclaré à la présidentielle de la RDC du 23 décembre 2018 remercie à cet effet tous ceux et toutes celles qui lui ont témoigné leur soutien et leur amitié pendant ce temps difficile devant un homme sans éthique professionnelle dit-il qui était déterminé à nuire à sa réputation pour des raisons inavouées.
Noël tshiani salue le professionnalisme et l’indépendance de la justice Française qui a statué sur ce cas qui servira désormais de jurisprudence en France et en RDC. Son combat dit-il, est d’instaurer en RDC un État de droit qui sera en mesure de statuer en toute objectivité et impartialité sur des cas de violations des droits humains et d’autres conflits dans la société.
En ce qui concerne la gueguere débutée d’abord par le nom des forces du changement utilisé au début du conclave des katumbistes à Johannesburg, Noël Tshiani s’exprime en ce terme: « Ceux qui copient mon projet de société et ma vision de développement de la RDC doivent faire attention car la justice indépendante existe en France. Mon ouvrage “La force du changement” a été publié en France et est couvert de copyright. Pendant que je cherche à régler la question du plagiat à l’amiable en toute responsabilité et devant les attaques injustifiées et insultes de Pierre Lumbi et leurs fanatiques, je n’hésiterais pas à faire appel à la justice pour défendre mes droits devant un groupe de personnes prêtes à utiliser des tactiques d’intimidation pour déformer la vérité et voler mes idées à leur profit personnel.«
Les Agents du status quo qui sont responsables des pillages de nos ressources naturelles selon Noël Tshiani, des assassinats, de détournements des fonds publics, de la prédation de nos richesses et de la mauvaise gouvernance sont mis en garde. Ils ne représentent pas ce que nous sommes: la Force du changement que j’incarne conclut-il.
Joël imbole
Avez-vous aimé l'article? Partagez et Laissez votre commentaire