Les membres du compte à rebours étaient interpellés devant le centre interdiocésain alors qu’ils manifestaient contre toute discussion qui concoure au maintien de Joseph Kabila à la tête de la Rdc à la fin de son dernier mandat constitutionnel. Le « compte à rebours » dit être « profondément affligé par la disparition de son coordonnateur Me Chris Shematsi, ses collaborateurs Samuel Bosasele et à John Ngandu ainsi que d’autres dont Carbone Beni, membre actif du collectif Filimbi, le 13 décembre 2016 à midi devant le centre interdiocésain de Kinshasa. » Le CAR exige la lumière sur cette affaire.
Compte à rebours s’indigne de voir ce rapt se faire alors que toutes les forces politiques du Pays discutent autour d’une table sur les questions vitale de la nation particulièrement » l’aération de la sphère politique ». Compte à rebours appelle les gouvernants au « respect de la Constitution congolaise et des dispositions internationales des droits de l’homme qui garantissent le respect des droits fondamentaux, les libertés individuelles et collectives » très impératifs. Cette période, lit-on dans le communiqué « doit être une opportunité pour le pouvoir congolais d’œuvrer pour la paix et la concorde nationale en libérant ses compatriotes détenus injustement ».
KN
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